En vidant l’appartement de son père disparu brutalement, Vanessa Springora découvre deux photos de son grand-père paternel. C’est alors la sidération, puis le début d’une traque obsessionnelle pour comprendre qui était cet homme pris dans la tragédie des deux totalitarismes du XX^e siècle.

L’autrice nous entraîne dans une enquête kaléidoscopique où se réfléchissent tour à tour légendes familiales, récit intime et sources documentaires, fiction et témoignages, petite et grande Histoire, et qui révèle les effets dévastateurs du non-dit.

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« Dans son deuxième livre, l’autrice du Consentement met en lumière les mensonges du passé familial. » Raphaëlle Leyris, Le Monde

« Dans ce récit limpide se croisent histoire personnelle et histoire du XX^e siècle. Le deuxième roman de Vanessa Springora est une réflexion très fine sur la transmission, le poids du silence, des non-dits et sur toutes les fictions que peut contenir un simple nom de famille. » Elisabeth Philippe, Le Nouvel Obs

« À la suite du Consentement, l’autrice retrace avec minutie la captivante enquête filiale qui l’a menée entre la France et la Tchéquie afin de reconstituer les origines troubles de son nom de famille. » Nathalie Crom, Télérama

« Une fois de plus, Vanessa Springora captive en relatant son histoire personnelle. Son enquête familiale, qui épouse les soubresauts de l’histoire, pendant la guerre et des deux côtés du Rideau de fer, est en soi passionnante. Mais elle sait aussi parfaitement la mettre en perspective, jetant des ponts entre le nazisme et le patriarcat. » Florence PITARD, Ouest France

« Dans Patronyme, Vanessa Springora, écrivaine et éditrice, relate l’enquête qu’elle a menée sur son grand-père, éclairant ainsi la figure énigmatique de son père. Son récit haletant met au jour un secret familial, qui fait écho à la tragédie de la Seconde Guerre mondiale. » Muriel Fauriat, Le Pèlerin