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Arnaldur Indridason

28,00 

Les Lendemains qui chantent

28,00 

Pourquoi Pétur, ce teinturier sans histoire et père célibataire, a-t-il disparu un soir en laissant son fils sans famille et sans protection ? Qui pourrait identifier ce cadavre retrouvé sur la rive du lac Hafravatn ? Qu’est-ce que c’est que ce trafic de Lada d’occasion avec les marins soviétiques ? Et quelle surprise de retrouver dans les fondations d’un chantier le corps de Skafti, disparu des années auparavant et que Natan a avoué avoir noyé dans une île. N’y a-t-il que Konrad pour trouver tout ça bizarre et vouloir demander des explications à Leo, son coéquipier de l’époque ?

Konrad mène une enquête gênante pour tout le monde, même lui, car elle met au jour un passé qui aurait gagné à rester caché. Il nous révèle l’existence de réseaux d’espionnage soviétiques en Islande dans les années 70 et comment des militants de gauche naïfs se sont trouvés embrigadés au nom de la Révolution soviétique.

Haletant et troublant, ce roman très noir marque une étape dans l’œuvre d’un Indridason plus « simenonien » que jamais.


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« Une toile de fond originale pour un polar rythmé et troublant. » Guillaume Pajot, Union Presse

« Un polar passionnant, complexe, plein de surprises. » Jean-Marie Wynants, Le Soir (Belgique)

« Obstiné au point d’être très intrusif pour vouloir absolument dé[1]couvrir la terrible réalité, Konrad émeut en se rapprochant peu à peu d’une lumière, mais c’est la lumière noire d’un passé occulté qui ne cessera de hanter l’Islande aussi longtemps qu’on ne l’aura pas éclairé. » Guy Duplat, La Libre Belgique

« Toujours aussi haletant ! » Anne Lessard, Le Télégramme

« Magistralement menée, cette nouvelle enquête de Konrad, bouleverse et enrichit, par sa maîtrise et son implication à la fois intime et politique. » 
Sophie Creuz, L’Écho (Belgique)

« Dans une narration croisée maîtrisée, Arnaldur Indridason développe trois enquêtes simultanément. […] Captivant. » Mohamed Berkani, France Info

« Un récit éblouissant. » Serge Perraud, Le Littéraire

« Chez Indridason, le passé est une obsession. […] S’il ne déroge pas à la règle, ce nouvel et sixième volume de la série Konrad se colore d’une saveur particulière, laissant le lecteur libre d’explorer les échos avec l’actualité géopolitique du moment […] Les afficionados d’Indridason identifieront vite les fils narratifs tressés lors des précédents épisodes […] Les autres prendront sans trop de mal le train en route. L’ancien policier dérange, rouvre les affaires classées, ne lâche rien, puisqu’il n’a rien à perdre. Sa ténacité finira par payer, sans dissiper complètement la tristesse épaisse planant sur ces pages.” Marie Charrel, Le Monde des Livres

« Comment s’étonner qu’au pays des volcans, Arnaldur Indridason excelle à faire ressurgir des entrailles du passé des laves encore destructrices ? Avec l’habileté qui fait son succès depuis bientôt trente ans, l’écrivain islandais obsédé par le passé réveille ici les coups fourrés de la guerre froide quand l’espionnage soviétique minait la région. » Frédérique Bréhaut, Le Maine Libre

Rubrique : Romans noir, polars et thrillers

Genre : Suspense

Édition : Grands Caractères

Taille des caractères : 16

Type de typographie : Luciole

Nombre de pages :565

ISBN : 9791026907992

Format (cm) : 15.6/24

Éditeur : À Vue d'œil

28,00