C’est un grand jour à Ferrare. On y célèbre les noces du duc Alfonso et de Lucrèce de Médicis. La fête est extravagante et la foule n’a d’yeux que pour le couple.
La mariée a quinze ans.
Rien ne l’avait préparée à ce rôle. Elle n’était que la troisième fille du grand duc de Toscane, la discrète, la sensible, celle dont ses parents ne savaient que faire. Mais le décès soudain de sa sœur aînée a changé son histoire.
La fête est finie, Lucrèce est seule dans un palais immense et froid. Seule face aux intrigues de la cour. Seule face à cet homme aussi charismatique que terrifiant qu’est son mari.
Et tandis que Lucrèce pose pour le portrait de mariage qui figera son image pour l’éternité, elle voit se dessiner ce que l’on attend d’elle : donner vie à un héritier. Son propre destin en dépend…

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« La grâce, dans ce roman, s’exerce à toutes les échelles : dans le choix des mots qu’O’Farrell manipule comme des étoffes précieuses ou des pigments subtils, dans la générosité de son regard qui fait sentir, vibrer et voir, et dans l’édifice tout entier du roman où scintille une attention portée autant au sens qu’au style. […] De ce roman aussi, vous serez la captive. Mais une captive consentante et ravie. »
Clémentine Goldszal – Elle

« Avec Maggie O’Farell, le roman historique se fait tout aussi lumineux que déchirant, déployant le riche éventail de la vie sensible et émotionnelle. »
Marie Chaudey – La Vie

« [Lucrèce] palpite littéralement sous la plume. »
Françoise Dargent – Le Figaro Littéraire

« Un merveilleux récit, haletant, instructif et sensuel. »
Laurence Caracalla – Le Figaro Magazine

« Un roman d’une sensualité troublante, où chaque détail devient objet d’émerveillement ou d’effroi. »
Emmanuelle Giuliani – La Croix

« Tel est le talent de Maggie O’Farrell : jongler avec l’histoire et la littérature, pour nous offrir un conte noir moderne, à la fois baroque et universel. »
Philippe Chevilley – Les Echos

« Un grand roman historique aux airs de conte crépusculaire. »
Elise Lépine – Le Point

« Un page turner en pleine Renaissance italienne, brillant et bien mené. »
Pauline Sommelet – Point de Vue

« Jusqu’à la dernière page, la conteuse Maggie O’Farrell sait faire régner le suspense, non seulement nourri de féminisme, mais aussi d’un indicible romantisme. Charlotte Brontë n’est bizarrement pas si loin… »
Fabienne Pascaud – Télérama