Deux femmes se font face, une reine qui a tout et une intrigante qui veut tout. Marie-Antoinette est au sommet de sa gloire, quand Jeanne de La Motte-Valois tente désespérément d’échapper à la misère. Son arme : un collier qui brille de six cent cinquante diamants. Le joyau disparaît, l’honneur de la reine est menacé, le vol tourne à l’affaire d’État, le procès précipite la Révolution française. Le scandale cache-t-il une machination politique ?

Dans cette histoire où chaque fait est vrai, Camille Pascal découvre un complot qui n’est pas celui que l’on a longtemps soupçonné et entraîne le lecteur à travers un labyrinthe extraordinairement romanesque.

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« C’est une affaire, que dis-je, un scandale d’État, qui va entacher la réputation de la si peu populaire Marie-Antoinette. On croyait tout savoir des agissements de Jeanne de La Motte, prétendue comtesse, et du cardinal de Rohan, grand aumônier de France qui ne brille pas par son âme charitable. Que nenni, Camille Pascal est tombé dans les affaires de cour dès son plus jeune âge. Il a fait siennes les intrigues politiques et autres arcanes royales, il évolue à son aise dans les cabinets de Versailles et du Louvre. Quant aux machinations de Jeanne de La Motte et de Cagliostro, elles n’ont aucun secret pour lui. » Stéphanie des Horts – Le Journal du Dimanche

« Dans cette histoire où chaque fait est vrai, Camille Pascal découvre un complot qui n’est pas celui que l’on a longtemps soupçonné et entraîne le lecteur à travers un labyrinthe extraordinairement romanesque. » Le Nouvel économiste

« Quand Camille Pascal revisite l’affaire du collier de la reine. Le scandale qui ébranla la monarchie sous Louis XVI a inspiré un récit raffiné à l’ancienne plume de Nicolas Sarkozy. Toute ressemblance avec notre époque… » Samuel Dufay – Le Point

« Camille Pascal, le mémorialiste de la monarchie. En quatre romans, Camille Pascal a trouvé et imposé son style, plus proche, grâce à sa verve, de celui des grands conteurs d’histoire que des universitaires assis sur un appareil de notes illisibles en bas de chaque page. » Jean-René Van der Plaetsen – Le Figaro