1939. Séverine épouse Michel Doazan, fils unique d’un riche viticulteur. Alors que la guerre les sépare rapidement, la jeune femme, restée seule, prend la gestion du domaine à bras-le-corps. Pour alléger cette charge trop lourde, le maire lui envoie Hermann, un prisonnier allemand, pour l’aider. Sans nouvelles de son époux absent depuis plusieurs années, Séverine se prend d’affection pour cet homme bon et dévoué. Mais Michel est-il vraiment mort ?
 

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« Alain Paraillous trace un nouveau sillon dans un de ces sombres fonds de vallée, chemin creux de l’Histoire volontiers oublié. Celle de ces prisonniers allemands qui, à la fin de la Seconde Guerre mondiale, ont été expédiés dans les fermes françaises pour y travailler » – Bastien Souperbie, Sud Ouest